Good vibrations…

Musique et blablas d’un discothécaire…

Ben Kweller août 28, 2008

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Une petite playlist pour découvrir un artiste de qualité.

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Eric Carmen (1975) Mai 30, 2008

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La pépite pop!

On ne se rappelle peut etre plus trés bien d’Eric Carmen, auteur-compositeur-interprète américain, en France aujourd’hui mais on connaît au moins tous l’une de ses chansons, revue et corrigée par Céline Dion : « All by myself ». Sur cet album sorti en 1975, premier effort solo d’Eric Carmen, on peut écouter l’original…je vous laisse juge…

Eric Carmen se ballade entre la pop et broadway (My girl, Great expectations), entre les Beach Boys et Billy Joel, entre les sixties (Last night) et les seventies d’où vient cet album fantastique à marquer d’une pierre musicale blanche.

Une mention toute particulière à un titre phénoménal « That’s rock’n’roll ». Jubilatoire!

Cet album est à découvrir ou redécouvrir pour ceux qui ne connaissent pas encore.

 

R.E.M-Automatic for the people (1993) avril 12, 2008

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REM automatic

On ne présente plus R.E.M, s’il reste encore quelques « institutions » dans le monde de la musique, le groupe d’Athens (Georgie) en est indubitablement. Au jour d’aujourd’hui, en 28 ans de carrière R.E.M a produit une belle palanquée d’albums dont le tout dernier « Accelerate » vient de sortir. Mais revenons quelques années plus tôt en 1993 le groupe sort son chef-d’oeuvre « Automatic for the people », son album le plus mélodique et certainement le plus intemporel. Le disque est plus posé que ces prédecesseurs, les arrangements sont plus subtils, voire carrément aériens (« Drive », « Everybody Hurts »), quelques envolées pop et incontournables (« Man on the moon », « The sidewinter sleeps tonight »)relèvent l’ensemble et l’allègent créant ainsi une osmose parfaite entre les tempos lents et rapides. C’est un album trés beau, au sens le plus noble du terme, trés travaillé mais nullement encombré, trés abouti dans sa démarche artistique. Un must!

 

Creedence Clearwater Revival-Willy and the Poor Boys (1969) avril 9, 2008

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CCR

Ce groupe au nom à rallonge, est l’un des plus brillants représentants du courant rock US de la fin des sixties.
Sous la houlette de son leader John Fogerty, auteur-compositeur-interprète de talent à la voix rocailleuse, il a marqué la musique populaire de quelques titres fondamentaux dont Proud Mary (repris avec brio par Ike & Tina Turner à la même époque), Green River ou Bad Moon Rising ne sont pas des moindres.
En 1969 CCR publie cet excellent « Willy and the Poor Boys » aux couleurs musicales métissées du sud américain et de la soul avec laquelle Fogerty aime à fricoter, témoin le sublime Feelin’ Blue sur l’album.
On y trouve également des couleurs rockabilly (Don’t look now), deux reprises sublimes de traditionnels américains (Midnight Special, Cotton fields), un excellent instru à la « planche à laver » (Poorboy Shuffle), le tubesque Down in the Corner et le non moins tubesque « Fortunate Son », hymne rock rageur popularisé en France par notre Johnny national : « Mais pas moi non pas moi Je suis le fils de personne… »

Ce disque est un pur moment de VRAI bonheur!

 

Fleetwood Mac-Fleetwood Mac (1975) avril 8, 2008

Filed under: Indispensables — elliottmusic @ 1:15
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FM 1975

Chaque chanson semble couler de la source de la précédente. L’alternance des styles de composition et des voix lead fonctionne impeccablement bien…Fleetwood Mac a trouvé la recette qui tue et ça va marcher à merveille…premier album du groupe à devenir n°1 aux US aprés 8 ans d’existence. Lindsey Buckingham, guitariste fantasque et compositeur génial ainsi que la brillante Stevie Nicks viennent de rejoindre le groupe et signent à eux seuls les principales pépites de l’opus : Monday morning, Rhiannon et le sublime Landslide. Une mention spéciale tout de même à l’extraordinaire Say you love me de Catherine McVie, autre titre phénoménal de l’album qui vous propulse immédiatement dans une bulle de bonne humeur !

Fleetwood Mac sort avec cet album de sa période « British blues » quelque peu fastidieuse, si chère aux puristes (…mais les puristes sont souvent trés ennuyeux…) pour rentrer dans l’univers brillant d’une pop intelligente et lumineuse.

Le groupe va recidiver, deux ans plus tard, en mieux encore!

 

Moon Martin-The very best of (1999) avril 3, 2008

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Pochette MoonMais si, mais si, vous avez déjà entendu ça « Baaaaaaaaaaad news, Baaaaaaaaaaad news… », en tout cas si vous avez connu cette (lointaine) époque…tous les teenagers du début des années 80 ont couiné ce refrain!

Moon Martin est physiquement une sorte de croisement entre Buddy Holly et Woody Allen et musicalement quelque part entre…Buddy Holly et Woody Allen… Il a sévi de la fin des 70s au milieu des 80s sur quelques albums aux pochettes plus ou moins stupides mettant en valeur son physique inoubliable parfois entouré de martiens en carton-pâte et paillettes (« Escape from domination » en 1978) .

Mais les pochettes on s’en fout…Des riffs simplissimes et immédiatement mémorisables, les mélodies itou, la guitare bien en avant, une rythmique binaire qui tourne « carré » derrière la voix haute de l’individu…et c’est parti. Rock’n’roll, boogie! OK, Moon n’a pas inventé la musique à couper le beurre mais c’est bourré de vitalité, c’est efficace et ça fait du bien par là où ça passe et pour moi ça vaut beaucoup d’autres critères alors rien que pour cela je le classe illico dans mes indispensables ce bon vieux Moon…et c’est pas donné à tout le monde!

Allez hop, j’y reviens…

« Rooooooooooolene, Roooooooooooolene, Roooooooooolene… »

 

Supertramp-Breakfast in America (1979)

Filed under: Indispensables — elliottmusic @ 1:17
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Breakfast cover

When I was young, it seemed that life was so wonderful, a miracle, oh it was beautiful, magical…ainsi démarre l’immortelle « Logical song », chantée haut par Roger Hodgson, sur cet album incontournable « Breakfast in America ». Ce disque a séduit des millions et des millions d’oreilles depuis 1979, et valu à Supertramp une solide renommée internationale. Groupe anglo-américain fondé au début des années 70 il réunit une palette de musiciens brillants, dont l’inénarable John Anthony Helliwell au saxophone, sous la houlette de deux auteurs-compositeurs pour le moins « éclairés » : Roger Hodgson (à la voix haut-perchée) et Rick Davies. « Breakfast in America » n’est pas le premier disque du groupe mais c’est le coup d’éclat. Truffé de mélodies géniales et de hits incontournables (Logical song, Goodbye stranger, Breakfast in America, Take the long way home…), cet album est une excellente synthese entre la puissance des échafaudages musicaux du groupe dans des titres longs, où chaque thème en amméne un autre, et la simplicité (trés apparente en réalité) de chansons plus populaires.

Et puis il y a le concept génial de la pochette inoubliable!

Sans aucun doute dans mes disques INCONTOURNABLES de chevet, de matin, de midi et d’aprés-midi voir plus…

 

The Beach Boys-Pet sounds (1966) avril 2, 2008

Filed under: Indispensables — elliottmusic @ 9:25
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Pochette Pet Sounds

Pour ceux qui l’ignorent peut-être, les Beach Boys furent bien plus qu’un simple groupe de surf music et s’il fallait encore en apporter la preuve alors il suffirait d’écouter et de réecouter inlassablement cet album magique paru en 1966 qui figure encore aujourd’hui au panthéon des chefs-d’oeuvres absolus de la pop music.

Brian Wilson, compositeur majeur du 20ème siècle, génie s’il en est, écoute Revolver des Beatles en 1966 et veut faire mieux encore! La réponse est affaire de gôut et pour le moins subjective… Ce qui est sûr c’est le résultat somptueux du bouillonnement de cette fièvre créatrice. Les Beach Boys tutoient les Dieux dans cet opus où les voix sont plus complexes et sublimes qu’elles ne l’ont jamais été dans un disque de pop music et où les mélodies atteignent un degré de raffinement qui fait exploser le cadre traditionnel de la chanson (« God only knows », « I know there’s an answer », « Wouldn’t it be nice »…).

Aprés cet album, les Beach Boys vont sortir le single le plus phénoménal de la pop music, une mini-symphonie dans une mélodie de poche, « Good vibrations » et le monde ne sera jamais plus le même, il tourne toujours mais dans ces quelques mots…

…Gotta keep those lovin’ good vibrations a-happenin’ with her …